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mercredi 9 février 2011

Bac blanc n°1 (TS)




BAC BLANC N°1 : ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE (
17.01.2011)

Traitez au choix l’un des sujets suivants :

Sujet 1 :

Quelle conception de l’homme l’hypothèse de l’inconscient remet-elle en cause ?

Sujet 2 :

Peut-on refuser l'idée d'inconscient psychique ?


Expliquez le texte suivant :


L’homme, quelque rabaissé qu’il soit au-dehors, se sent souverain dans sa propre âme. Il s’est forgé quelque part, au cœur de son moi, un organe de contrôle1 qui surveille si ses propres émotions et ses propres actions sont conformes à ses exigences. […] Dans certaines maladies et, de fait, justement dans les névroses2, que nous étudions, il en est autrement. le moi se sent mal à l'aise, il touche aux limites de sa puissance en sa propre maison, l'âme. Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent ; on n'est pas non plus capable de les chasser. Ces hôtes étrangers semblent même être plus forts que ceux qui sont soumis au moi.[...]
La psychanalyse entreprend d'élucider ces cas morbides3 inquiétants, elle organise de longues et minutieuses recherches, elle se forge des notions de secours et des constructions scientifiques, et, finalement, peut dire au moi : « Il n'y a rien d'étranger qui se soit introduit en toi, c'est une part de ta propre vie psychique qui s'est soustraite à ta connaissance et à la maîtrise de ton vouloir. [...]
« La faute, je dois le dire, en revient à toi. Tu as trop présumé de ta force lorsque tu as cru pouvoir disposer à ton gré de tes instincts4 sexuels et n’être pas obligé de tenir compte le moins du monde de leurs aspirations. Ils se sont révoltés et ont suivi leurs propres voies obscures afin de se soustraire à la répression, ils ont conquis leur droit d’une manière qui ne pouvait plus te convenir5. […] »
« Tu crois savoir tout ce qui se passe dans ton âme, dès que c'est suffisamment important, parce que ta conscience te l'apprendrait alors. Et quand tu restes sans nouvelles d'une chose qui est dans ton âme, tu admets, avec une parfaite assurance, que cela ne s'y trouve pas. Tu vas même jusqu'à tenir psychique pour identique à conscient, c'est-à-dire connu de toi, et cela malgré les preuves les plus évidentes qu'il doit sans cesse se passer dans ta vie psychique bien plus de choses qu'il ne peut s'en révéler à ta conscience. Tu te comportes comme un monarque absolu qui se contente des informations que lui donnent les hauts dignitaires de la cour et qui ne descend pas vers le peuple pour entendre sa voix. Rentre en toi-même profondément et apprends d'abord à te connaître, alors tu comprendras pourquoi tu vas tomber malade, et peut-être éviteras-tu de le devenir. »

C'est de cette manière que la psychanalyse voudrait instruire le moi. Mais les deux clartés qu'elle nous apporte : savoir que la vie instinctive de la sexualité ne saurait être complètement domptée en nous et que les processus psychiques sont en eux-mêmes inconscients, et ne deviennent accessibles et subordonnés au moi que par une perception incomplète et incertaine, équivalent à affirmer que le moi n'est pas maître dans sa propre maison  .

FREUD
 « Une difficulté de la psychanalyse »,
in Essais de Psychanalyse appliquée.

NOTES :

1. La conscience.
2. Troubles obsessionnels, compulsions, angoisse, phobies, etc ou encore troubles hystériques.
3. Qui concernent la maladie.
4. « Trieb » en allemand, que l’on traduit plutôt par le terme de pulsion (latin pulsio, « poussée »).
5. Allusion au symptôme névrotique.


La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question.



Bon courage.

jeudi 13 janvier 2011

Freud : "L'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime"


      On nous conteste de tous côtés le droit d'admettre un psychique inconscient et de travailler scientifiquement avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l'hypothèse de l'inconscient est nécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuves de l'existence de l'inconscient. Elle est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l'homme sain que chez le malade, et il se produit fréquemment des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d'autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience. Ces actes ne sont pas seulement les actes manqués et les rêves, chez l'homme sain, et tout ce qu'on appelle symptômes psychiques et phénomènes compulsionnels chez le malade ; notre expérience quotidienne la plus personnelle nous met en présence d'idées qui nous viennent sans que nous en connaissions l'origine, et de résultats de pensée dont l'élaboration nous est demeurée cachée. Tous ces actes conscients demeurent incohérents et incompréhensibles si nous nous obstinons à prétendre qu'il faut bien percevoir par la conscience tout ce qui se passe en nous en fait d'actes psychiques; mais ils s'ordonnent dans un ensemble dont on peut montrer la cohérence, si nous interpolons les actes inconscients inférés. Or, nous trouvons dans ce gain de sens et de cohérence une raison, pleinement justifiée, d'aller au-delà de l'expérience immédiate. Et s'il s'avère de plus que nous pouvons fonder sur l'hypothèse de l'inconscient une pratique couronnée de succès, par laquelle nous influençons, conformément à un but donné, le cours de processus conscients, nous aurons acquis, avec ce succès, une preuve incontestablement de l'existence de ce dont nous avons fait l'hypothèse. L'on doit donc se ranger à l'avis que ce n'est qu'au prix d'une prétention intenable que l'on peut exiger que tout ce qui se produit dans le domaine psychique doive aussi être connu de la conscience.


                                                               FREUD, Métapsychologie, "Inconscient", §. 1, éd. Gallimard, "Idées", pp. 66-6

dimanche 9 janvier 2011

Freud : le sens des symptômes et le symbolisme dans le rêve (extrait de l'Introduction à la psychanalyse (1915-1917), 3ème partie, Théorie générale des névroses :

sens_symptome

Freud : La structure de la personnalité psychique (1932)


La structure de la personnalité psychique : schéma de Freud, Nouvelles conférences sur la psychanalyse (1932), 3ème conférence, "Les diverses instances de la personnalité psychique", Gallimard, 1936 pour la traduction française.

samedi 8 janvier 2011

La notion d'inconscient psychique a-t-elle un sens ? La madeleine de Proust :

« II y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n'était pas le théâtre et le drame de mon coucher, n'existait plus pour moi, quand un jour d'hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j'avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d'abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d'une coquille de Saint- Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d'un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j'avais laissé s'amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m'avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. II m'avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu'opère l'amour, en me remplissant d'une essence précieuse : ou plutôt cette essence n'était pas en moi, elle était moi. J'avais cessé de me sentir médiocre, contingent, mortel. D'où avait pu me venir cette puissante joie ? Je sentais qu'elle était liée au goût du thé et du gâteau, mais qu'elle le dépassait infiniment, ne devait pas être de même nature. D'où venait-elle ? Que signifiait-elle ? Où l'appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième qui m'apporte un peu moins que la seconde. II est temps que je m'arrête, la vertu du breuvage semble diminuer. Il est clair que la vérité que je cherche n'est pas en lui, mais en moi. [...] Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C'est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, toutes les fois que l'esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. II est en face de quelque chose qui n'est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière. Et je recommence à me demander quel pouvait être cet état inconnu, qui n'apportait aucune preuve logique, mais l'évidence, de sa félicité, de sa réalité devant laquelle les autres s'évanouissaient. Je veux essayer de le faire réapparaître. Je rétrograde par la pensée au moment où je pris la première cuillerée de thé. Je retrouve le même état, sans une clarté nouvelle. Je demande à mon esprit un effort de plus, de ramener encore une fois la sensation qui s'enfuit. Et, pour que rien ne brise l'élan dont il va tâcher de la ressaisir, j'écarte tout obstacle, toute idée étrangère, j'abrite mes oreilles et mon attention contre les bruits de la chambre voisine. Mais sentant mon esprit qui se fatigue sans réussir, je le force au contraire à prendre cette distraction que je lui refusais, à penser à autre chose, à se refaire avant une tentative suprême. Puis une deuxième fois, je fais le vide devant lui, je remets en face de lui la saveur encore récente de cette première gorgée et je sens tressaillir en moi quelque chose qui se déplace, voudrait s'élever, quelque chose qu'on aurait désancré, à une grande profondeur ; je ne sais ce que c'est, mais cela monte lentement ; j'éprouve la résistance et j'entends la rumeur des distances traversées. Certes, ce qui palpite ainsi au fond de moi, ce doit être l'image, le souvenir visuel, qui, lié à cette saveur, tente de la suivre jusqu'à moi. Mais il se débat trop loin, trop confusément ; à peine si je perçois le reflet neutre où se confond l'insaisissable tourbillon des couleurs remuées ; mais je ne peux distinguer la forme, lui demander, comme au seul interprète possible, de me traduire le témoignage de sa contemporaine, de son inséparable compagne, la saveur, lui demander de m'apprendre de quelle circonstance particulière, de quelle époque du passé il s'agit. Arrivera-t-il jusqu'à la surface de ma claire conscience, ce souvenir, l'instant ancien que l'attraction d'un instant identique est venue de si loin solliciter, émouvoir, soulever tout au fond de moi ? Je ne sais. Maintenant je ne sens plus rien, il est arrêté, redescendu peut-être ; qui sait s'il remontera jamais de sa nuit ? Dix fois il me faut recommencer, me pencher vers lui. Et chaque fois la lâcheté qui nous détourne de toute tâche difficile, de toute oeuvre importante, m'a conseillé de laisser cela, de boire mon thé en pensant simplement à mes ennuis d'aujourd'hui, à mes désirs de demain qui se laissent remâcher sans peine. Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté; peut-être parce que, en ayant souvent aperçu depuis, sans en manger, sur les tablettes des pâtissiers, leur image avait quitté ces jours de Combray pour se lier à d'autres plus récents ; peut-être parce que, de ces souvenirs abandonnés si longtemps hors de la mémoire, rien ne survivait, tout s'était désagrégé ; les formes - et celle aussi du petit coquillage de pâtisserie, si grassement sensuel sous son plissage sévère et dévot - s'étaient abolies, ou, ensommeillées, avaient perdu la force d'expansion qui leur eût permis de rejoindre la conscience. Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir. »

                                         Marcel Proust, À la recherche du temps perdu. Du côté de chez Swann, 1913.

dimanche 12 décembre 2010

La notion d'inconscient psychique a-t-elle un sens ? La copie d'Alain :

Il y a de la difficulté sur le terme d'inconscient. Le principal est de comprendre comment la psychologie a imaginé ce personnage mythologique. Il est clair que le mécanisme échappe à la conscience, et lui fournit des résultats (par exemple, j'ai peur) sans aucune notion des causes. En ce sens la nature humaine est inconsciente autant que l'instinct animal et par les mêmes causes. On ne dit point que l'instinct est inconscient, Pourquoi ? Parce qu'il n'y a point de conscience animale devant laquelle l'instinct produise ses effets. L'inconscient est un effet de contraste dans la conscience. On dit à un anxieux : " Vous avez peur ", ce dont il n'a même pas l'idée ; il sent alors en lui un autre être qui est bien lui et qu'il trouve tout fait. Un caractère, en ce sens, est inconscient. Un homme regarde s'il tremble afin de savoir s'il a peur. Ajax, dans l'Iliade, se dit : " Voilà mes jambes qui me poussent ! Sûrement un dieu me conduit ! " Si je ne crois pas à un tel dieu, il faut alors que je croie à un monstre caché en moi. En fait l'homme s'habitue à avoir un corps et des instincts. Le psychiatre contrarie cette heureuse disposition ; il invente le monstre ; il le révèle à celui qui en est habité. Le freudisme, si fameux, est un art d'inventer en chaque homme un animal redoutable, d'après des signes tout à fait ordinaires ; les rêves sont de tels signes ; les hommes ont toujours interprété leurs rêves, d'où un symbolisme facile. Freud se plaisait à montrer que ce symbolisme facile nous trompe et que nos symboles sont tout ce qu'il y a d'indirect. Les choses du sexe échappent évidemment à la volonté et à la prévision ; ce sont des crimes de soi, auxquels on assiste. On devine par là que ce genre d'instinct offrait une riche interprétation. L'homme est obscur à lui-même ; cela est à savoir. Seulement il faut éviter ici plusieurs erreurs que fonde le terme d'inconscient. La plus grave de ces erreurs est de croire que l'inconscient est un autre Moi ; un Moi qui a ses préjugés, ses passions et ses ruses ; une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller. Contre quoi il faut comprendre qu'il n'y a point de pensées en nous sinon par l'unique sujet, Je ; cette remarque est d'ordre moral.

                                                                                                                                            Alain

What's on a man's mind ?


Caricature célèbre (anonyme) de Sigmund Freud

dimanche 5 décembre 2010

L'inconscient : guide de lecture


L’INCONSCIENT : GUIDE DE LECTURE (Hatier, p. 44)


1-     Quelle(s) signification(s) peut-on donner à l’injonction socratique « connais-toi toi-même » ?
2-     Pourquoi une conception dualiste du sujet renforce-t-elle l’idée d’une souveraineté de la conscience sur nos existences ? En quoi une telle conception exclue-t-elle toute distinction entre le « psychique » et le « conscient » ?
3-     Quelles expériences de la vie quotidienne semblent pourtant mettre en question une telle certitude ? (vous pouvez vous appuyer sur les textes de Leibniz et de Descartes).
4-     En vous appuyant sur texte de Spinoza, expliquez en quoi la conscience peut être source d’illusions.
5-     En quoi le concept freudien d’ « inconscient » est-il radicalement différent de la notion d’ « inconscience » ou de « non-conscience » ?
6-     Sur quel point essentiel la plupart des critiques philosophiques du concept freudien d’inconscient portent-elles ? (appuyez-vous sur le texte d’Alain).
7-     En quoi la notion la notion d’inconscient implique-t-elle une « mise en question » du sujet pensant ? Cette mise en question implique-telle nécessairement le renoncement à toute idée de liberté du sujet ?

mercredi 3 novembre 2010

La "question du sujet" : plan des leçons et lectures (TS)








LA QUESTION DU SUJET : LEÇONS

I.  LHOMME EXISTE COMME SUJET ( = Qui suis je ? Qui parle qand je dis « je » ? Définitions, problèmes, enjeux )

a. A la recherche du « sujet » : le sujet de laction et le sujet pensant. La subjectivité.
b. La personne ou « le pouvoir de dire je » (Kant). La question de lidentité.
c. Conscience et liberté. La question de la responsabilité. Le sujet en question ? Enjeux.

II. QU'EST-CE QUE LA CONSCIENCE ? (= Nature et fonction de la conscience ? En quoi fait-elle de lhomme un « sujet »  ?)

a. La conscience et la vie. Bergson. (Corrélat : LE VIVANT) 
b. Conscience et conscience de soi. (Lecture : O. SACKS, « Le marin perdu »).
c. La conscience comme pouvoir de réflexion. Alain (Corrélat : LA MORALE, LE DEVOIR)

III.  CONSCIENCE  ET CONNAISSANCE (= Quelles connaissances la conscience de soi peut-elle assurer ?)

a. Le « cogito ». Descartes. (Corrélats : LA RAISON ET LE RÉEL, LA VÉRITÉ)
b. L’âme et le corps. (Corrélats : LA MATIÈRE ET LESPRIT)
c. Le sujet de la connaissance. Le sujet « transcendantal ». Kant. Un sujet « pur » ? Husserl. Merleau-Ponty.

IV. CONSCIENCE ET ILLUSION (= La conscience, fondement de toute certitude ou source d illusions ?)

a. Les illusions de la conscience. (Corrélat : LA LIBERTÉ)
b. Linconscient. (Corrélat : LINCONSCIENT)
c. Le sujet en question. Le désir. (Corrélat : LE DÉSIR)







LECTURES - 




Hatier (ou polycopié)  :








Kant, Anthropologie du point de vue pragmatique (1798), texte 7 p. 31.
Bergson, La conscience et la vie, L’Energie spitituelle (1919), texte 3 p. 27.
Alain, Textes choisis, P.U.F (extraits).




Descartes, Méditations métaphysiques (1641), extrait de la 1ère méditation, texte 2 p. 311 ; extrait de la 2ème méditation, texte 1 p. 25.




Descartes, Discours de la méthode, 4ème partie, 1637 (extrait polycopié).
Marx et Engels, L’idéologie allemande (1846), texte 10 p. 33.
Spinoza, Ethique, 1ère partie, Appendice (1677), texte 3 p. 46 ; Spinoza, Ethique, 3ème partie, texte 5 p. 401.
Freud, Introduction à la psychanalyse (1916), texte 12 p. 35 ; Une difficulté de la psychanalyse (1917), texte 4 p. 46 ; Abrégé de psychanalyse, texte 10 p. 43.
Alain, Eléments de philosophie (1941), texte 8 p. 50.