1- Pourquoi les questions « qui suis-je » mais aussi « qui est autrui » apparaissent-elles d’emblée problématiques ?
2- Que désigne la notion de « subjectivité » ?
3- En quoi fonde-t-elle une forme de « responsabilité » ?
4- Pourquoi la notion de sujet engage-t-elle nécessairement une relation avec autrui ? Que désigne exactement le terme « autrui » ?
5- Quels sont les signications « politique », « juridique » et « morale » de la notion de sujet ? (v. analyse sémantique)
6- Pourquoi sommes nous toujours « sujet » « au double sens du mot » ? Quels sont ces deux sens ambivalents ?
LA CONSCIENCE : GUIDE DE LECTURE (Hatier, pp. 20-24)
1- Pourquoi la « possession » de la conscience, « promue au rang de ce qu’il y a d’essentiel dans l’humain », ne va-t-elle pas de soi ?
2- Pourquoi comparer la conscience à un miroir ?
3- En quoi la possession de la conscience fait-elle de l’homme une personne ? Que signifie être « responsable » ?
4- Pourquoi l’identité et l’unité du sujet reste-elle mystérieuse, même si onne peut en douter ?
5- En quel sens peut-on dire que la conscience n’est pas un « être », mais un « rapport à l’être » ?
6- Comment prend-on conscience de soi ?
7- En quoi autrui est-il nécessaire à la constitution de notre propre conscience ?
8- Quelles illusions de la conscience et de sa souveraineté peut-on dénoncer ?
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